Pour ce nouvel Arbre à Mots de ff, j'ai choisi le mot : Joubarbapapa de Jill Bill. Voici ma participation.

La fête foraine allait avoir lieu dans une semaine. Les manèges et autres stands s'installèrent petit à petit. Jou préparait dans son atelier sa nouvelle recette de barbe à papa. Tout le monde le surnommé Joubarbapapa. Cette année, il voulait proposer quelque chose de différent.

Il se mit en place devant sa machine et commença à mélanger plusieurs ingrédients. Un peu plus de sucre. Et pourquoi pas avec de la vanille ? Ou un peu de fraise ? Il essaya un peu tous les parfums, mais rien ne le satisfaisait. Il sortit de son atelier et laissa la porte entrouverte. Il alla voir ses autres amis forains et au bout d'une heure décida qu'il était temps pour lui d'essayer une autre recette. Il entra dans la pièce et découvrit son chat, Plume, déambuler entre tous les ingrédients.

« Plume ! S'écria Jou, mécontent. »

Il attrapa son chat pour le faire descendre de la table. Mais en faisant cela, Jou fit tomber tous ses ingrédients dans sa machine qui se mit en marche. Il l'arrêta le plus vite possible et découvrit une barbe à papa aux couleurs de l'arc-en-ciel. Il en prit un morceau et gouta. C'était délicieux ! Il venait de trouver sa nouvelle recette.

Et lorsque la fête foraine commença, il fit découvrir sa nouvelle barbe à papa arc-en-ciel.

Pour ce nouvel Arbre à Mots, ff nous laisse le choix entre quatre mots jusqu'au 7 janvier 2011. J'ai choisi le mot de M'Annette, Liroli.

Il mit son gros manteau et ferma la porte de sa maison. Il était huit heures. L'heure pour lui d'aller travailler. Cela faisait un an que Liroli avait été engagé comme lutin dans l'atelier du Père Noël. Son grand-père travaillait pour le Père Noël, ainsi que son père. Ils avaient même réussi à devenir Lutin-en-chef. Et maintenant, c'était au tour de Liroli.

Aujourd'hui, c'était une grosse journée. On était le 24 décembre, la veille de Noël. Quand Liroli arriva à l'atelier, tous étaient en effervescence. Il s'installa à sa table de travail et emballa les derniers cadeaux qu'il restait. C'était son travail de la journée.

Pendant son heure de déjeuner, il en profita pour aller voir Rudolph, l'un des rennes du Père Noël, et lui donna à manger. Il allait lui falloir des forces pour cette nuit. Liroli continua ensuite d'emballer les cadeaux et les emmena au traineau où les autres lutins préparaient le grand départ.

Une heure avant de partir, le Père Noël réuni tous les lutins et donna la liste des noms de ceux qui allaient l'accompagner cette année. Liroli était fier, son nom était dans la liste. Il se promis de bien faire son travail pour que petits et grands aient leurs cadeaux sous le sapin.

Cette semaine, le nouveau mot proposé pour l'Arbre à Mots de ff est : Poissillon de Noxisque. Voici ma participation.

Dans les profondeurs des océans, vivent plusieurs espèces. Il y a par exemple, les poissons lune, les poissons chat, les baleines, les dauphins et toutes sortes de coquillages. L'océan abrite également les sirènes. Et parmi les sirènes existe une autre espèce : les poissillons.

Les poissillons ne sont pas très différentes des sirènes. Comme elles, les possillons ont un corps de femme et une queue de poisson. Mais à la différence des sirènes, les poissillons ont d'immenses ailes de papillons qui leur permettent de nager très vite et ont deux antennes.

Lorsque la mer et calme et la lune est pleine, les poissillons s'amusent à sauter à la surface et grâce à leurs ailes, volent sur plusieurs mètres. Peu de marins ont croisé leur route, mais il a longtemps été dit que leur chant hypnotique appartenait aux sirènes.

Si vous naviguez un jour sur les eaux calmes, peut-être aurez-vous la chance de voir les poissillons.

Je vous présente ma participation à l'Arbre à mot de ff, avec cette semaine le mot : Cymbichat de Mireille.

Pour la communauté de l'Arbre à Mots de ff, le mot proposé cette semaine est Blédicouche de Zapi. Je vous présente ma participation.

Dans un village caché dans les montagnes, vivait un petit koala. C'était un petit koala bien étrange. Il marchait sur deux pattes et poussait un drôle de petit cri : « Blédi-Blédi ». Mais le plus étrange était qu'il tenait dans ses pattes un petit balluchon et portait une couche. Il fut alors surnommé par les villageois, Blédicouche. Personne ne savait d'où il venait. Après tout, le pays des koalas c'était l'Australie. Et ici, on n'était pas en Australie. Il était simplement arrivé un jour devant l'entrée du village en criant « Blédi-Blédi ». Il avait tout de suite été accepté par les villageois. Les enfants jouaient avec lui et les adultes lui donnaient à manger. Il avait une préférence pour les gâteaux qu'il mettait dans son balluchon. Depuis, tous les matins, on entendait à l'entrée du village : « Blédi-Blédi », indiquant l'arrivée de Blédicouche. Et tous les soirs, il repartait du village en criant encore et toujours : « Blédi-Blédi », en attendant de revenir le lendemain matin.